Françoise Pensa-Boyadzis

Cet hommage n'est visible que par la famille

Cet hommage n'est visible que par la famille

Nous ne pourrons pas assister à la cérémonie. Cependant, nous tenions à nous associer à vous en ces moments difficiles et vous présenter toutes nos condoléances. 
Nous vous souhaitons beaucoup de courage. 
Jacqueline Perez, Cathy Perez Falco, Christophe Paupier, Marie-France Brunerie Cataneo et Corinne Isnard Domec de Coudoux 

Cet hommage n'est visible que par la famille

Je garde un souvenir très vif de Françoise. On a travaillé quelques temps ensemble au SUIO. Je l'appréciation beaucoup. C'était une belle personne, bienveillante avec une grande joie de vivre malgré les douloureuses épreuves qu'elle a traversées,  même tout juste après sa retraite. Elle était une force de la nature.
J'ai encore le souvenir de notre manifestation à Paris, affublées de "charlotte" républicaine.
Je ne peux hélas pas me joindre à vous pour cet au-revoir à Françoise, je le serais en pensées.
Tous mes vœux de réconfort vont à ses proches.
Bye-bye Françoise. On se retrouvera peut-être pour une bonne  🤣
Mimi

Chers tous,
Pour moi, Françoise restera à jamais la maman attentionnée et dynamique de Delphine. Une des mamans avec qui nous sommes parties en Pologne en voyage scolaire. Une dame curieuse et cultivée. Mais surtout une femme forte, volontaire, une battante face à ses problèmes de santé. 
C’est l’image que je garderai d’elle. 
Toutes mes pensées vous accompagnent en ces moments difficiles. 
Toutes mes condoléances 

Bonjour, toutes mes condoléances à la famille de Françoise.
un petit moment partagé avec Françoise, il y a déjà quelques années. Pour toujours, c’est son sourire et sa bienveillance avec tout le monde. J’ai souvenir d’un trajet ensemble en voiture, je l’avais raccompagnée à Aix, déjà avec sa bouteille de survie. Avec toute la volonté qu’elle déployait, elle a refusé que je la ramène chez elle à Coudoux, je la déposais donc à la gare routière, avec le même sourire et la même joie de vivre.
Aurevoir Françoise et merci pour ta leçon de vie…
jane-marie Viard
« je suis sur la photo de la manifestation en 1989 à Paris »

Je suis bien peinée de la disparition de Françoise. Je l'ai connue au SCUIO lorsque j'étais étudiante-vacataire à l'Université de Provence. Françoise m'a très bien accueillie et entourée dès le début, comme elle le faisait avec tous les nouveaux venus.
Elle nous a très vite proposé de participer au Festival d'Avignon. Elle adorait le théâtre et faire partager sa passion.
On prenait le car de l'Université en groupe et dans la bonne humeur, on passait la soirée sur place, et on revenait en car.
Quels bons souvenirs !... Françoise nous parlait souvent de sa petite fille Fanny, que je n'ai pas eu l'occasion de rencontrer.
Françoise était toujours coquette, bien apprêtée avec des colliers et boucles d'oreilles colorés... Elle nous racontait des anecdotes sur différents moments de sa vie, et l'on attendait la chute avec impatience. Voici une photo lors du pot de départ à la retraite de Martine, et l'on voit Françoise avec son joli chapeau de paille.
Au revoir Françoise !

Avec Françoise, nous avons partagé toute une vie de travail à l'Université de Provence, à Aix. C'est quelqu'un qu'on ne peut pas oublier : son sens de l'humour, ses yeux si malicieux, combien de fou-rire avons-nous partagé avec elle...Et sa grande dignité en toute circonstance, même quand le plus sombre chagrin lui brisait le coeur.
Nous avons également mené tant d'actions, de luttes, petites et plus amples, face aux injustices. Qu'une collègue soit discriminée, ou indûment menacée, et nous étions ensemble pour obtenir réparation. Notre devise ? "ATOS, un pour tous, tous pour un !". Comme les mousquetaires avant nous, nous n'hésitions pas à bouger, chaque fois que nécessaire.
C'est ainsi que nous n'avons pas hésité à nous embarquer à Paris, nous étions 25 à "monter à Paris" pour participer à une grande manifestation en décembre 1989 pour obtenir les moyens nécessaires à notre Université. Ce sont des moments inoubliables que nous avons passé, entre grosses rigolades et colères noires face à un gouvernement qui refusaient de légitimes revendications.
J'ai gardé quelques photos de cette lumineuse escapade, et je voulais les partager avec vous.
Ciao Françoise ! on ne t'oublie pas.

Je tenais à présenter mes sincères condoléances à toute la famille de Françoise dans cette épreuve.
J'ai de nombreux souvenirs heureux avec Françoise, notamment à la chorale de l'Universite et de bons moments partagés. 
Je ne pourrai être présente mercredi car je pars quelques jours mais je penserai fort à vous.
Sylvie Guitou, collègue de l'université