Olivier Robin-Guettard

Cet hommage n'est visible que par la famille

Mon cher Cousin Olivier, je te confirme que tu seras toujours aussi présent dans ma Mémoire, mes Souvenirs. Avec ma plus profonde Amitié.

Cet hommage n'est visible que par la famille

Merci Olivier d'avoir traversé ma Vie par hasard ! Comme cette photo d'un vortex sur le Glandasse, Haut-Lieu vibratoire du Vercors, que tu connais bien, laisse toi monter dans ta Lumière... Nous sommes tous là pour t'accompagner. Tu m'as soufflé ce poème alors je transmets. Ta grande soeur d'une autre vie. Eliane Quand je partirai – Poème hawaïen, destiné à ceux qui restent... Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s’arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre cœur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai : « Bienvenue chez nous ».

Merci Olivier d'avoir traversé ma Vie par hasard ! Comme cette photo d'un vortex sur le Glandasse, Haut-Lieu vibratoire du Vercors, que tu connais bien, laisse toi monter dans ta Lumière... Nous sommes tous là pour t'accompagner. Tu m'as soufflé ce poème alors je transmets. Ta grande soeur d'une autre vie. Eliane Quand je partirai – Poème hawaïen, destiné à ceux qui restent... Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s’arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre cœur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai : « Bienvenue chez nous ».

Merci Olivier pour avoir traversé ma vie, ici et ailleurs.. Comme ce vortex sur le Glandasse, ce Haut-lieu du Vercors que tu connais si bien, je sais que tu montes, en Paix, dans ta Lumière ... bien accompagné dans ce voyage sur l'autre rive. Tu m'as soufflé ce poème, alors je transmets. Eliane Quand je partirai – Poème hawaïen - message à lire pour tous ceux qui restent... Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s’arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuive ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre cœur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai : « Bienvenue chez nous ».

Je n'ai pas envie d'être triste en ce moment car comme moi tu sais que la vie et la mort ne sont qu'un. Tu as choisi le jour de la rentrée pour faire l'école buissonnière en allant explorer d'autres contrées. J'espère que tu pourras y faire ce que tu as envie sans contrainte et sans limite. Je ne serai pas présent pour la cérémonie mais avec le cœur oui. Tu es un gars vachement chouette avec qui j'ai passé de bons moments, j'aurai aimé te rencontrer plus tôt. Tu resteras dans mes souvenirs en attendant de te rejoindre pour finir nos discutions et partager de bons moments. Je t'embrasse une dernière fois ICI et maintenant ;-)

A toi Olivier, ami de cœur Tu vas me manquer ainsi que nos longs échanges au cours de nos chemins respectifs vers la Conscience, l'Amour, et l’Éveil. Ta quête était passionnée, sincère, et respectueuse d'autrui. Je te remercie pour ton amitié bienveillante, ta patience, ton intégrité et ta simplicité. Je suis heureuse d'avoir partagé avec toi de si joyeux et beaux moments entre ami(e)s de cœur et d'âme. Je ne t'oublierai pas. Soutien sincère à tes proches et à ta famille. Lumière et Paix à toi. Marie Fée

Cher Olivier Tu as été l’un des auxiliaires de vie de ma mère, un de ses préférés. Tu l’a accompagnée jusqu’à la fin. C’est toi qui, avant nous, as franchi le seuil de notre maison en juillet 2009, le jour de ton anniversaire, pour y accueillir ma mère. Tu avais interrompu ta marche vers St Jacques de Compostelle. Toute ta vie, tu as été la paix, l’amour, l’humour. Un ange gardien, un valet du cœur. Et maintenant tu vas rejoindre ton propre ange gardien. A la mort de ma mère, Stella, 92 ans, tu avais dit une chanson de Jacques Brel, "La quête", avec beaucoup d’émotion. "Rêver un impossible rêve. Porter le chagrin des départs. Brûler d’une possible fièvre. Partir oú personne ne part. Aimer jusqu’à la déchirure. Aimer, même trop, même mal. Tenter, sans force ni armure d’atteindre l’inaccessible étoile. Telle est ma quête, suivre l’étoile." Plein d’amour pour toi et ton étoile. Linette et Ben